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Disparition programmée, la suite

  • Photo du rédacteur: atelierecriturecarre
    atelierecriturecarre
  • 21 janv. 2019
  • 2 min de lecture

Dans la bibliothèque de l'atelier se trouve l'ouvrage Disparition programmée de Roland Smith qui nous fait suivre, avec suspense, les aventures d'un ado qui n'a pas eu une vie comme les autres.

Après en avoir lu les deux premières pages, une jeune du centre a imaginé une suite alternative.




Une fois que tout le monde était monté et s’était installé dans l’avion, on a décollé. Pendant les 3 premières heures du vol, tous les passagers restaient assis.


Jusqu’au moment où l’avion a été pris en otage par 4 mafieux. C’est à partir de ce moment là, que tous les passagers ont remarqué que nous étions une famille d’agents infiltrés et que nous étions là pour arrêter les 4 mafieux.


Au départ, tout se passait comme prévu, le plan fonctionnait, quand oncle Don commença sa mission : aller parler aux mafieux en leur faisant croire que lui aussi en était un, pour qu’ils avouent leurs crimes.


L’avion a été pris dans une tempête, les turbulences ne s'arrêtaient plus, tous les passagers criaient et couraient dans tous les sens. Ma sœur, ma mère et moi essayions de calmer tout le monde mais cela n’était pas évident. Tante Doris, elle, devait essayer de s’infiltrer dans la soute pour aller chercher nos armes. A cause de la tempête, notre mission devenait de plus en plus difficile, donc ma sœur et moi avions décidé d’aider oncle Don en rentrant en cachette dans le poste de pilotage.


Les personnes pour qui nous travaillions nous avaient appris à piloter un avion avant de se lancer dans la mission, malheureusement je ne m’en souvenait plus, j’ai donc demandé au commandant Pif et, malgré sa petite taille,il a su faire en sorte que l’avion sorte de la tempête. Pendant ce temps oncle Don occupait les mafieux.


Pif a réussi à nous faire atterrir à Londres et oncle Don, lui, à arrêter les criminels en leur demandant de descendre dans la soute pour leur montrer ses armes. Il a donc réussi à faire en sorte que eux deviennent nos otages jusqu’à Londres.






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